Samedi 20 décembre 6 20 /12 /Déc 22:50

 Quand tu es arrivé chez moi, j'étais déjà allongé à poil sur le lit ; j'avais commencé à me branler et à me doigter en t'attendant. J'ai continué de me caresser pendant que tu me matais tout en te déshabillant : comme j'avais hâte de te voir en boxer ! J'ai repéré le gros paquet avec une forme qui essayait d'en sortir, et enfin tu l'as enlevé, et ta bite en a jailli. Aussitôt j'ai senti dans mon ventre et ma bouche un noeud de frustration. Tu t'es approché, tu me l'as donnée à sucer, pendant que ta main fouillait entre mes fesses. Constatant que j'étais déjà mouillé, tu m'as mis un doigt, et j'ai ouvert aussitôt les cuisses, pour que tu me le mettes en entier. J'essayais en même temps de faire entrer ta queue jusqu'au fond de ma gorge.
- T'as l'air bien en manque, hein ? m'as-tu dit, ouvert de partout.
Je n'ai pu acquiescer que d'un gémissement la bouche pleine.
- J'appelle mes potes, le temps que je m'occupe de toi ?
Tu m'as mis un deuxième doigt sur cette question, et je n'avais plus qu'une envie, me faire remplir au plus vite, et lep lus possible. Même acquiescement.
Tu as pris ton portable :
- Salut X, je crois que je vais avoir besoin de renforts...Ouais... Là, je suis en train de me faire pomper par un affamé... Dans une demi-heure ? Espelette. Ok. Appelle Y, je crois qu'on sera pas trop de 3. Oh non, y aura de la place, crois-moi.
Tu t'étais rapproché et m'avais redonné ta bite à têter.
- Hein ? ah si tu voyais l'appétit, tu serais déjà là ! On dirait qu'il a rien eu à bouffer pendant des jours ! Ok... Ok, on vous attend. Bye.
Tu as ajouté après avoir raccroché :
- Hein, on les attend ?
- Oui, j'ai répondu, mais on va commencer, non ?
Et tu m'as remis 2 doigts aussitôt, ce qui m'a coupé la parole.
Tu es monté sur le lit et m'as relevé les cuisses pour me retourner : j'avais les genoux qui m'encadraient la tête, le cul bien offert. J'ai bien compris ce que tu voulais faire, mais j'ai suggéré que tu viennes de mon côté.
- Accroupis-toi sur moi, t'ai-je demandé.
Tu es donc venu t'agenouiller au dessus de ma tête, maintenant mes jambes entre les tiennes. Ma langue commença à lécher tes couilles et ta raie, et tu as commencé à me fouiller le cul avec ta langue. Je t'ai saisi à la taille pour que tu t'asseyes complètement sur mon visage, et ma langue a insisté - la tienne aussi du coup, tandis que tes mains m'écartaient encore plus les fesses. Tu alternais : me léchant et me doigtant, et quand tu avais une main libre, tu te branlais, attentif à la pointe de ma langue. Nous éprouvions tous les deux un grand plaisir. L'excitation montait de plus en plus ; je m'en rendais compte aussi au rythme de tes 2 doigts me limant le trou. Je devais être parfaitement dilaté et glissant. Tu t'es un peu relevé : quelle vue j'avais !!! ton cul, tes couilles et ta bite, raide et grosse comme jamais, et mon propre cul, brillant et un peu ouvert déjà. Tu avais les jambes fléchies qui m'encadraient, et tu as enfoncé ton gland, ce qui m'a fait lâcher un soupir de plaisir - et tu as enfoncé lentement tout le reste. Je n'en perdais pas une miette ; ton gros dard disparaissait dans le trou que je t'offrais. J'ai empoigné ma queue pour me branler et je te sentais arrivé au fond. je ne voyais plus que tes belles couilles. alors tu as commencé les va-et-vient. Je voyais ma rondelle accompagner tes mouvements, se replier vers l'intérieur quand tu poussais dedans, et se tendre sur ta bite quand tu ressortais. Nos cuisses étaient complètement imbriquées et j'avais une vue imprenable ; je bandais à mort. Tu as accéléré et j'ai commencé à crier de plaisir et pour t'encourager. Le gros piston gagnait en vitesse. Tu es ressorti complètement : j'ai vu mon trou ouvert 2 secondes se refermer ; tu as reculé un peu et as fléchi ; tu as dirigé ta bite vers le bas, et ma bouche l'a engloutie.
- Régale-toi, Ben.
Pendant que je te pompais ainsi, tu jouais avec ton pouce dans mon cul. Puis tu as sorti ta queue, m'as donné tes couilles à lécher, puis ta rondelle à nouveau, et ta bite encore. Et tu t'es remis en position ; ta queue m'a perforé beaucoup plus directement, et tu as pris une cadence infernale. Je me branlais comme un fou pendant que tu me forais.
- Ah, ce cul ! ce cul, t'exclamais-tu, je vais te le gaver, et tu vas t'en rappeler !
Nous étions tous les deux frénétiques. Plusieurs fois tu as alterné dans mon cul et dans ma bouche, lâchant tes ordres sur un ton plus impérieux :
- Tiens, suce-moi la bite ! Oui, c'est ça...Lèche-moi bien le cul ! Hmmm, tu prends bien ton pied, hein ?

Par karim - Communauté : gay
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