Lundi 2 mars 1 02 /03 /Mars 21:50
 

Et sans perdre une minute, il se mit en levrette et donna ses instructions : je devais lui préparer le cul en le léchant pendant qu’il ranimait ta bite en la suçant. Il mit autant de cœur à te pomper que moi à écarter ses fesses velues et bien charnues pour donner d’intenses coups de langue. Je voyais le petit trou rose s’ouvrir entre les poils noirs, et t’entendais gémir de plaisir en félicitant Ricardo. Puis il te demanda d’y aller maintenant ; je te laissai la place, et dès que tu te mis derrière lui, qui se cambrait aussi bien que moi, je ne perdis pas une miette quand ton gland se posa sur son trou, et y disparut lentement. Il poussa un léger « ah », puis sous ta poussée, je vis ta bite s’engouffrer, et Ricardo soufflait en t’encourageant. Tu le tenais à la taille. Je bandais déjà en lui léchant le cul, mais là j’étais dans un état terrible ; on s’embrassait tandis que tu restais enfoncé au maximum.

- Putain, Tahar, ce barreau ! Dit-il. Ben, viens, je vais te la sucer.

Je te laissais commencer tes mouvements lents, et lui présentai ma bite, qu’il goba d’un coup pour l’aspirer. Je lisais sur son visage les crispations que lui donnait ton invasion. Il se retenait de gémir comme une petite fille, mais quand tu accéléras, il se révéla complètement. Il se mit à couiner en me suçant, et tu dis : « c’est fou comme tu mouilles ! » et tu pris une cadence terrible. Il sortit ma queue de sa bouche, et ne s’arrêta plus de parler :

- Ah, pète-moi le cul, Tahar ! Oui ! Démonte-moi !

Je me mis sur le dos pour me branler en admirant le spectacle, et toi tu lui montas dessus, en t’appuyant des mains sur ses omoplates. Tu le pilonnais comme un fou, en lui disant des mots terribles qui m’enflammaient, et il te répondait dans le même sens, couvert de sueur :

- Tu la sens là ma bite, hein? Tu sans comme elle te ramone ?!

- Vas-y, vas-y ! Bourre-moi le cul, Tahar ! Aaaah ! Ouais ! C’est ça!

Il m’attira à lui et m’invita à écarter les fesses, et il me fourra sa langue dans le trou bien profondément ; j’étais au septième ciel, le sentant me fouiller l’anneau, tellement dilaté depuis quelques heures, et le voyant harcelé de tes coups de butoir qui le faisaient gueuler entre mes fesses.

- Tiens, mange, Ricardo, criais-tu en l’enculant de plus belle, mange ça ! Tiens !

Il reprit ma bite en bouche et me pompa jusqu’à ce que je jute, secoué par de terribles spasmes : il soupira d’aise en recevant mon jus, et après m’avoir aspiré à fond, il réclama le tien :

- Jute-moi dans le cul ! Vas-y !

- Ah ouais ? Tu veux une bonne cartouche ?

- Oui ! Remplis-moi bien !

Et là, tu donnas de puissants coups bien à fond, et il gueulait à chaque fois ; puis tu le matraquas de petits coups annonçant la sauce.

- Hmmmm, oui ! Tu vas la prendre ma purée ! Tiens !!!!!!!!!!

Tu te fichas bien au bout et ne donnas plus que quelques petits coups en criant ton plaisir, et Ricardo n’arrêtait plus de dire « oui ».

Après quoi tu te remis sur tes genoux derrière lui, toujours fiché dans son cul, et il se redressa pour se branler : sa bite était énorme ! Nos regards se croisèrent.

- Mais oui, viens prendre ta dose, toi !

Je me suis donc approché à quatre pattes, léchouillant le gland pendant qu’il se branlait, et il ne tarda pas à jouir, encore occupé par ta bite qui se mouvait lentement. Je reçus d’abord une giclée de pré-jute, puis fermai les yeux et ouvris la bouche : aussitôt, et Ricardo gueulait comme un fou comme si chaque jet lui arrachait quelque chose, je me sentis arrosé par un torrent de sperme, du front au menton, et dans la bouche.

- Ouais ! Voilàààà ! Une bonne douche de foutre ! Hmmmmmmm ! Ricardo était en extase.

 

Après cet épisode bien chaud, qui nous avait révélé une partie facette de Ricardo, le temps passa vite, et il faut dire qu’on était un peu crevés. Je m’étais essuyé le visage, vous étiez partis vous doucher, et je préparais un truc à bouffer pendant ce temps.

C’est au cours du petit repas improvisé que Ricardo regarda l’heure, et fit remarquer qu’on pourrait aller à l’entraînement rejoindre les gars qui allaient terminer.

- Ca te branche pas tous ces mâles à la douche ? Me demanda-t-il en riant.

Je ne savais quoi répondre : l’idée de ces bêtes gorgées de testostérone, nues, après l’effort, m’excitait à fond, mais le nombre me faisait peur aussi. Je te regardais, et tu n’avais pas l’air emballé non plus.

- Tu veux qu’on aille rejoindre toute l’équipe ? Demandas-tu.

- Ben ouais, dit-il, on pourrait se faire un truc sympa dans les vestiaires. Tu sais comment on est quand on s’est bien donnés sur le terrain… Les potes seraient bien partants, je pense.

- Attends, l’équipe va être au complet…

- Justement, c’est le moment de proposer un deal.

- Genre ?

- Genre : une bonne tournante, et si les futurs matches sont bons, à refaire. Ca te dit pas d’être une récompense, Ben ?

Je bredouillai quelque chose, ne sachant pas décider entre les scènes de cul qui me traversaient déjà, et le nombre de mecs qui me passeraient dessus. Ricardo s’emballait :

- Attends, je vois déjà bien le truc, te disait-il, on file Ben à l’équipe adverse avant les matches, histoire de bien les crever, ou bien on motive nos gars pour l’après-victoire. On devrait proposer au boss.

Tu ne disais plus rien et je ne savais pas ce que tu en pensais. Mais tu me regardais hésitant aussi.

- Allez, insistait-il, on lui a défoncé le cul à quatre, il nous a vidé les couilles je sais pas combien de fois ! Dis pas que t’aimes pas ça, Ben ?

Le résultat, c’est qu’une demi-heure plus tard, j’entrais avec vous dans les vestiaires. Tous les mecs s’étaient douchés, et ils étaient à poil ou en train de s’essuyer. Une immense baraque la cinquantaine, était le seul habillé, en jogging, au milieu des bancs et de la vapeur. Il vint directement vers nous, et Ricardo expliqua d’entrée pourquoi vous n’étiez pas venus à l’entraînement. Il me mit le bras sur l’épaule en me présentant comme un petit phénomène de la baise, et résuma son plan pour l’équipe. Le regard de l’entraîneur s’était allumé aussitôt et il me décortiquait du regard en écoutant les projets de Ricardo.

- Alors, Tahar, t’as décroché la perle rare ? Dit le chef. Beau ptit poulet, c’est vrai. Je crois que je devrais en parler avec lui en privé d’abord. Il pourrait être mon fils ! Ajouta-t-il en rigolant. Hein ? T’aimes être un bon garçon ? Avec ce ptit cul, tu dois pouvoir en faire du bien !

Et il m’a entraîné vers un local vitré, pendant que vous rejoigniez les autres.

Dans la pièce, il n’y avait qu’un bureau simple et deux chaises ; il posa les fesses sur le bureau, et appuya les mains, puis il me dit :

- Fous-toi à poil déjà.

Je commençai à me déshabiller et il m’interrogeait ; je ne pouvais que répondre oui à tout :

- Alors, 4 mecs pour toi tout seul ? T’es gourmand, dis donc… Plusieurs fois ? Dans la bouche et dans le cul ?

J’en étais au boxer, et je bandais, à cause de ce qu’il disait ; et puis je voyais sur son jogging un sacrée barre diagonale qui ne pouvait pas me tromper. Il continua :

- Ouais, pas mal du tout… tu bandes, coquin ! Quand je pense que tu pourrais être mon fils… Allez, viens voir papa, ajouta-t-il en baissant ses fringues d’où se dressa un bien beau morceau tout tendu.

Je m’approchai donc, à poil, et bandant moi-même ; j’étais debout tout près.

- Regarde-la, t’as vu dans quel état tu m’as mis ? Tu vas pas me laisser comme ça ?

Je regardais nos deux bites tendues l’une vers l’autre. La sienne me mettait en appétit…Et puis visiblement, il avait envie d’un trip papa-fiston car il n’arrêtait pas sur le sujet.

- Tu vas faire ce que je te demande ? D’accord ? Un bon garçon ?

Il me roula une pelle hyper baveuse ; sa langue me retournait la bouche ; puis ses mains m’invitèrent à me baisser, et je m’agenouillai devant sa queue.

- Allez, fais-moi du bien, montre-moi.

 



Par karim
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